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Je continue sur ma lancée de la défense du remote, du vrai, pas du digital nomad.

Je continue sur ma lancée de la défense du remote, du vrai, pas du digital nomad.

Parce que oui, ce n’est pas la même chose.

Le digital nomad, tu sais, cette personne qui veut de la liberté, mais au chaud comme un CDI, le genre qui ne veut aucune contrainte mais qui pourtant en demande à son entreprise.

Ceux qui te disent : « Je veux travailler de là où je veux, quand je veux, dans les conditions que je veux, avec le décalage horaire que je veux. »

Parce que non, bosser de la plage, ce n’est pas du télétravail.

À la limite, tu bosses depuis un lieu touristique, pourquoi pas (mais permets-moi de me poser la question sur ta capacité à rester bosser quand tu peux aller visiter la plus belle ville du monde, ou même la durée de ta pause repas, parce que si ta pause repas dure de 12h à 16h, j’ai l’impression que tu te fous un peu de ma gueule, non ?)

Si tu bosses de chez ta grand-mère parce qu’elle est âgée et que tu veux en profiter, je n’y vois aucun problème.

Mais soit tu veux bosser, soit tu veux te balader, mais y’a quand même un truc qui m’échappe.

Alors si tu es freelance avec tes propres clients, on est d’accord, t’es pas concerné.

Mais si t’es en CDI, CDD, ou même freelance CDI déguisé (tu sais, en régie, dans une équipe qui a des contraintes), alors franchement, arrête de défendre le digital nomad, de pleurer parce que plus personne n’a confiance dans le remote, car tu contribues largement à la perte de confiance.

Et va chercher des clients au forfait.

JE SUIS FLEXIREMOTE, je défends le remote, mais pas le digital nomad qui change de lieu plus vite que sa culotte. (25% n’en changent pas tous les jours.. de culotte)


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