Le plus dur en tant que CTO, c’est pas de choisir la stack ou la roadmap.
C’est d’arbitrer entre code de m**de et code overkill.
Ma force, c’est de placer le curseur au bon endroit.
Du coup, je vais vite tout le temps : pour livrer une feature, mais aussi pour l’adapter.
Et pas besoin de partir dans des trucs alambiqués, juste propres, avec les principes de base d’isolation du métier.
Et hop, un ajustement ne prend pas plus que quelques minutes.
Si j’avais fait merdique ? Ben je serais repassé à tous les endroits, et j’en aurais oublié.
Mais si j’avais fait ultra overkill ? Ben je n’aurais pas été plus avancé qu’avec mon code propre, car je n’aurais pas été plus vite. Par contre, au départ, ça m’aurait demandé plus d’énergie (et certainement un peu plus de temps surtout si tu refactorises tout à chaque modif).
CQFD.
Aller vite et bien.
(Et donc fatalement, c’est cher si je prends le fameux triangle de décision d’un projet.)